5ème épisode de la série EPICUR.

Pendant le festival de cinéma de Berlin, la Berlinale, un couple de réalisateurs est assassiné. Lui, était pressenti pour l'ours d'or pour une réalisation légèrement gauchiste ; elle, réalisatrice de documentaires bien plus engagés.
Les assassins se suicident : l'un au moment de son arrestation dans l'hôtel, l'autre au moment de son transfert entre 2 corps de police.
Après que l'on ait retiré l'enquête, pour des raisons assez nébuleuses, à Susie et Annette, cette dernière décide de faire appelle à EPICUR.
Comme d'habitude l'enquête mélange agréablement les genres : policier, scientifiques, futuristes et politiques.
Un réel plaisir. Dommage que cela soit si court mais c'est peut-être cela qui fait son charme.

Pourquoi les médias véhiculent-ils toujours des informations qui font peur ?
Lors des procés contre des "pauvres" gens, comme vous et moi, intentés par des majors pour piratage, il ne nous est communiqué que le 1er verdict. Celui où l'utilisateur est condamné à une forte amende.
Lorsqu'il n'y a pas commerce des objets du téléchargement, je ne comprends pas comment il est possible de nous faire croire que nous pouvons être condamnés !!!
Qui n'a pas gravé, sur K7, alors qu'il était au lycée - je parle de trentenaire, un super CD pour ses potes ?! La différence c'est que maintenant, vive le libéralisme :-(, tu peux graver l'album qui appartient à la discothèque de quelqu'un qui est à l'autre bout du globe... et alors ?
De plus il est peut-être bon de rappeler que nous payons une taxe sur le matériel et les supports à ces entreprises...
Qu'on arrête de nous faire croire que nous sommes responsables de la non distribution des petits artistes. Ceux-ci, heureusement pour eux, et pour nous, n'attendent pas qu'une major s'intéresse à eux pour exister.
A quand un arrêt de la recherche du profit à tout crin ? Qu'on ne me fasse pas croire que Universal, ou un de ses frères, est en train de mourir à cause des téléchargements.
Non, je n'en crois pas un mot.
Je trouve que c'est une des meilleures choses qui existe sur internet : le partage.
Profitons-en avant qu'il trouve le moyen de nous empêcher le libre-échange !

Donc ça y est j'ai commencé la dure épreuve du plateau sur une 500 cm³.
Pour les connaisseurs il s'agit d'une CB, je crois Honda.

La 1ère leçon a été une catastrophe.
J'ai juste à l'arrêt cherché le point mort. Croyant que mon pied n'était pas au bonne endroit sur le sélecteur de vitesse, j'ai cherché avec la tête et ............. patatras........... par terre (sans la faute à Voltaire)... ça fait mal au pied. Beaucoup. Très fort.
Après forcément j'avais un peu de mal à me concentrer.

Pour faire vite et ne pas embêter les éventuels lecteurs.
Ce soir était ma 6ème leçon : j'ai fais tomber la moto 1 fois mais maintenant je sais sauter !!! C'est mieux. Forcément, j'ai essayé de démarrer en 2nde (pôv' naze !).
Pour la 1ère fois on a fait les circuits lents avec le mono à l'arrière. PAs du tout inquiet Le Julien. Il a plus confiance en moi que moi-même. Mais comme il dit : "c'est tout dans la tête".
Et puis depuis hier j'ai commencé le circuit rapide : il me faut à peu près 85 sec là où il faudra, le jour de l'examen, entre 19 et 21 secondes. Oui, oui c'est précis.
Sinon, j'avoue que de sentir pencher la moto lorsque je m'incline pour passer entre les plots c'est vraiment super grisant.
Au départ Julien m'avait dit qu'il fallait compter en moyenne 6 heures sur le plateau. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais faire sauter le compteur.
En même temps ce n'est pas très grave.
Le but étant que je me fasse plaisir et que je sois sûre de moi.