• Les derniers polars

    Je m'étais dis que ce n'était pas compliqué de tenir un blog... Tu parles !!!
    Bref, je voulais parler de quelques lectures de ces dernières semaines... C'est du bon.

    Rupture de Contrat, Harlan Coben.
         Cette fois-ci son personnage est un ancien sportif de haut niveau reconverti comme agent, Myron Bolibar. Son ami, Win, dandy, rentier et expert en arts martiaux. Un jeune étudiant à la carrière prometteuse en football américain se voit la proie d'un chantage après que sa petite amie est disparue, puis ré-apparue sous forme de photo de nu. Laquelle est la petite de l'ancien amour de jeunesse de Myron.
    Je ne suis pas sûre d'être super claire, là ?! Il y a pas mal d'humour et l'intrigue est bien menée. C'est vraiment agréable à lire. Même si ses thrillers restent passionnant... je trouve que celui-ci est mieux construit. Comme si l'auteur avait pu se lâcher, avait moins de pression. Je vais peut-être un peu loin, là, non ?

    Tout ce qui Meurt, John Connolly.
         Charlie Parker (encore un dont les parents avaient de l'humour), ex-flic new-yorkais, a démissionné quelques années auparavant pour se consacrer à la recherche de l'assassin de sa famille. En effet, un soir où il était sorti pour se saoûler, il rentre et trouve un massacre (mise-en-scène) dans sa cuisine dont les victimes sont sa femme et sa fille. D'autres victimes commencent à tomber...
    Pfft, une révélation pour moi. Je ne connaissais pas cet auteur mais pour le coup je compte lire les suivants. Evidemment il y a le problème de la violence, et de la description des meurtres en même temps c'est nécessaire puisqu'il s'agit d'une véritable mise-en-scène. L'intrigue est très bien menée et on est tenu en haleine jusqu'à la fin. Plusieurs histoires se croisent et ça ne fait que renforcer notre intérêt. Un grand auteur, dans le genre.

    L'Empire des Loups, J.-C. Grangé.
         Grangé ! C'est documenté. Les ficelles sont bien dissimulées... mais quand même celui-là est un peu fourre tout. Quoique, en y repensant, c'est la même chose dans ses précédents romans. On a l'impression qu'il n'a pas le temps ou qu'il est limité en nombre de pages et il y a des dizaines de thèmes différents abordés. Dans celui-ci : les immigrés clandestins turques, les ateliers de confection, la mafia turque, le traffic de drogue, les flics bons et pourris, les politiciens verreux, la chirurgie esthétique, les études sur la mémoire et le cerveau humain.... Evidemment cela fonctionne. Il fait quand même bien son boulot. Je pense que je continuerais à lire ses oeuvres même si je me dis que cela n'a pas grand intérêt.

    Voilà ce sera tout pour ce matin.


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