• La géométrie insensée de l'amour, Susana Guzner

    Maria croise Eva à l'aéroport de Rome. Elle est sous le charme. Plus exactement subjuguée.
    L'avion ne peut pas repartir pour Madrid. Cela se transformera en une semaine de passion en Italie.
    De retour en Espagne les choses se compliquent. Tout n'est pas très clair dans la vie de Eva.

    Une passion amoureuse sous forme de thriller.
    Ce n'est pas inintéressant. Beaucoup de petits détails ont raisonnés en moi d'étrange façon.
    La fin est bizarre. Un peu violente, peut-être.
    Pas un grand livre mais ça se laisse lire.


  • Commentaires

    1
    clo
    Vendredi 29 Décembre 2006 à 19:25
    Elle est ...
    difficile, très difficile ... oui, bon d'accord, c'est pas du Sartre ! Mais y'a pire ! Bon je ferais mieux la prochaine fois.
    2
    Remy
    Vendredi 29 Décembre 2006 à 23:32
    la Géométrie insensée de l’amour
    Un roman splendide! Je laisse cette critique qui exprime mes sensations: "Planter le décor de ce roman : c’est ne rien dire. C’est manquer l’essentiel. Maria, jeune traductrice, rencontre Eva, à l’aéroport de Rome. Tous nous pourrions connaître ou avons connu ce hasard, cette magie de la rencontre inattendue. Passion foudroyante qui nous berce dans les tumultes où juste les palpitations rythment notre existence. Mais oubliant un instant la folie de l’aéroport, les annonces des vols de départ, de ceux qui arrivent. De la foule qui hurlent, des déchirements, suivons le fil tendu par Susanna Guzner : jouons-nous de la passion. Découvrons l’amour de deux femmes, de deux flammes. Deux mondes de distance. Chassés-croisés d’une relation. Entre appareils photographiques et poésie d’un quotidien amoureux. Nous pouvons savourer dans les moindres bruits, interstices du désir, un roman qui se construit comme une géométrie, un puzzle. Un battement de cœur, une porte qui claque, un coup de revolver, un déclencheur de photographies, deux sensibilités que brise l’écho de la passion. Puis c’est l’attente, le temps d’une rupture. Une symphonie de Beethoven. Un vase bleu contenant des fleurs de papier. Un tabouret, l’odeur du parquet, les appels au secours… Susanna Guzner nous captive, et nous délivre un roman savoureux. Sonia Bressler, Kritiks"
    3
    Lundi 1er Janvier 2007 à 13:10
    Remy...
    ou Sonia plutôt. Je n'ai pas dis que c'était mauvais. J'ai dis que ce n'était pas de la grande littérature, dans la forme ! A mon avis.
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