Quelques centaines, ou quelques milliers de pêcheurs arrivent à bloquer les dépôts d'essence.
Et donc à obtenir, en tous cas, qu'une partie de leurs demandes soit satisfaite.
Nous sommes surement près de 20 millions d'utilisateurs de véhicules à essence : pourquoi est-ce que nous ne sommes pas capables de nous battre pour que le prix du litre soit divisé par 2 ???
Je ne comprends pas.

Je ne sais pas pourquoi je continue à lire du Coben. Je ne sais pas.
J'ai des dizaines de bouquins chez moi que je n'ai pas lu... qui m'attendent depuis des semaines, des mois, voire parfois, des années.
Et voilà qu'une copine me passe un Coben et je le prends pour le lire. Immédiatement ou presque.

1985. Paul Copeland est un jeune animateur de camp d'ados. Une nuit, alors qu'il s'est éloigné du camp pour retrouver Lucy, sa petite amie, quatre jeunes disparaissent, dont sa soeur, Camille. Seuls deux corps seront retrouvés. On attribuera la mort des ados à un serial killer qui sévissait dans la région. Vingt ans plus tard, Paul est devenu procureur. Alors qu'il plaide dans une affaire de viol, il est appelé pour l'identification d'un corps : pour lui, pas de doute possible, il s'agit de Gil Perez, un des garçons qui avait disparu dans les bois. Pourquoi les parents du jeune homme s'obstinent-ils à nier son identité ? Si Gil était bien vivant pendant ces vingt ans, y a-t-il un espoir pour que Camille le soit aussi ? Que s'est-il réellement passé dans les bois cette nuit-là ?

Comme d'habitude, le thriller est bon. Vraiment. Mais, putain, la fin est baclée.
 Il finit l'histoire en 10 pages alors qu'il a fait monter la pression pendant 300 pages.
Ca m'énerve un peu...

Ce midi, à la tv, reportage sur la ville de Mulhouse et les grèves des enseignants et fonctionnaires.
Je ne sais pas de quelle couleur est la mairie mais cela n'a que peu d'importance.
La mairie (on peut supposer de droite - mais tu avais dis que cela n'avait pas d'importance - ah oui c'est vrai... déformation congénitale, je crois) a mis en place un système de garderie dans certaines écoles.
On voit des parents qui sont contents de pouvoir déposer leurs enfants. Des parents d'élèves qui aimeraient être prévenus plus tôt lorsque les enseignants vont faire grève - pour pouvoir mieux s'organiser...
Dernière phrase du reportage : sur 10.000 enfants scolarisés en maternelles et écoles primaires, seuls 69 ont été amenés en "garderie"... c'est pas incroyable, ça ???

Ne croyez pas un instant que je ne pense pas aux pauvres parents qui travaillent et qui ne savent pas quoi faire de leurs marmots lorsqu'il y a grève. Par contre, je pense que le droit de grève est vraiment un droit TRES important à défendre.

Evidement, pas en fringues sinon ça se saurait (ahahahah). Désolée, private joke.


Bref, je me suis laissée tenter. Et j'en suis bien contente... Putain, ça stresse ce truc mais c'est super bon en même temps.
Je suis devenue une addicted à ma DS Lite. Qui est d'un superbe rouge cobalt (aucune idée de ce que cela signifie mais c'est joli).

Je me la pète, quoi !!! Et c'est bon !

Mmmmmm quelle bonne odeur.
Je sens le plateau de fruits de mer sur la Méditerranée ou sur l'Atlantique, ou sur l'océan Pacifique... Je ne suis pas raciste.

Barack Obama a certainement poussé un gros soupir de soulagement quand les résultats des primaires en Caroline du Nord et dans l'Indiana sont tombés mardi soir. Il est des jours où un match nul vaut une victoire et c'est ce qui s'est passé. Il a remporté comme prévu haut la main la Caroline du Nord avec 16 % d'avance (58 % à 42 %), et il a presque fait jeu égal, comme il l'espérait, avec Hillary Clinton dans l'Indiana qu'elle a remporté 51 % à 49 %.
Du coup, le jeune sénateur métis de l'Illinois a fait un pas de plus vers la nomination du Parti démocrate à la présidentielle de novembre. Il n'a certes pas encore remporté le match, car il n'est toujours pas parvenu à mettre Hillary KO. Elle est bien décidée à tenir la distance, fidèle à son image de "Rocky" au féminin. Il y a encore six rounds d'ici la fin du match le 3 juin et, comme elle ne manque jamais une occasion de le rappeler, "on ne sait jamais ce qui peut arriver en politique". Le combat va donc probablement continuer au finish, même si la campagne Clinton est de plus en plus handicapée par le manque d'argent.