• J'ai découvert, vraiment entendu & écouté, M en concert au Zénith de Toulouse en février 2004. Des amies m'avaient proposé de les accompagner.
    Il faut dire que mes goûts musicaux sont plutôt hétéroclites : Mozart, Manson, Psykup, DJ Zebra, Zazie, Cali, Prohom, Lofofora, Pleymo, Pixies, Bowie, Nirvana, Les Malpolis,...
    J'avais trouvé cela excellent. Ce type et son groupe sont incroyables.
    L'été dernier, au festivald e Blaye-les-Mines, j'ai pu de nouveau le voir en concert. C'était en plein air donc le son rendait moins bien mais c'était pas mal quand même.
    Et voilà qu'il repasse dans cette bonne vieille ville de Toulouse....
    Hum je pense que cela va être une excellente soirée !




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  • Donc ça y est j'ai commencé la dure épreuve du plateau sur une 500 cm3.
    Pour les connaisseurs il s'agit d'une CB, je crois Honda.

    La 1ère leçon a été une catastrophe.
    J'ai juste à l'arrêt cherché le point mort. Croyant que mon pied n'était pas au bonne endroit sur le sélecteur de vitesse, j'ai cherché avec la tête et ............. patatras........... par terre (sans la faute à Voltaire)... ça fait mal au pied. Beaucoup. Très fort.
    Après forcément j'avais un peu de mal à me concentrer.

    Pour faire vite et ne pas embêter les éventuels lecteurs.
    Ce soir était ma 6ème leçon : j'ai fais tomber la moto 1 fois mais maintenant je sais sauter !!! C'est mieux. Forcément, j'ai essayé de démarrer en 2nde (pôv' naze !).
    Pour la 1ère fois on a fait les circuits lents avec le mono à l'arrière. PAs du tout inquiet Le Julien. Il a plus confiance en moi que moi-même. Mais comme il dit : "c'est tout dans la tête".
    Et puis depuis hier j'ai commencé le circuit rapide : il me faut à peu près 85 sec là où il faudra, le jour de l'examen, entre 19 et 21 secondes. Oui, oui c'est précis.
    Sinon, j'avoue que de sentir pencher la moto lorsque je m'incline pour passer entre les plots c'est vraiment super grisant.

    Au départ Julien m'avait dit qu'il fallait compter en moyenne 6 heures sur le plateau. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais faire sauter le compteur.
    En même temps ce n'est pas très grave.
    Le but étant que je me fasse plaisir et que je sois sûre de moi.


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  • L'héroïne de Stella Duffy est une détective privée, Saz Martin, londonienne et lesbienne.
    C'est le 2nd roman traduit de ses aventures.
    Cela se déroule dans le milieu du rock londonien. La chanteuse d'un groupe à succés reçoit des roses jaunes et des lettres anonymes. Rien de bien violent jusqu'à ce que les membres du groupe commencent à disparaître de bien étrange façon... Là on en est déjà au 2/3 du roman.
    Ensuite tout, et même un peu n'importe quoi, s'enchaîne à grande vitesse.
    Qu'est-ce qu'ils ont tous ces auteurs à faire trainer l'intrigue pour ensuite bacler la conclusion en quelques pages (cf les romans de Harlan Coben).


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  • Entendu sur France Inter mercredi 02 février 2005 - journal de 12h00.
    En France, pays de l'Union Européenne où la législation est la plus dure, de plus en plus de jeunes de 18 à 20 ans fument du cannabis ou autre substances dites "drogues douces".
    Y se foutent de la gueule de qui ?
    Ils pensent qu'il n'y a aucune cause à effet, réellement ?
    La photo : pied de basilic mais ça y ressemble, hein ?
    Allez sans rancune ni prosélythisme !


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